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Mohamed Sifaoui : la terreur islamophobe


Mohamed Sifaoui, lié aux massacreurs algériens de la guerre civile des années 90 et aux terroristes islamophobes déguisé en "djihadistes" des services secrets français, polémiste antimusulman acharné, est devenu un personnage incontournable du paysage médiatique français. Tous les jours ou presque, il diffame les musulmans et les islamistes, appelle à leur persécution, et, malgré tout,  feint de dénoncer le racisme qu'en réalité il promeut. Face à Zemmour, il perd le débat et se ridiculise définitivement.

Toute la propagande de Sifaoui consiste à séparer l'islam de l'islamisme, alors même que lui est un ennemi de la religion musulmane ainsi que de l'islam politique, qui gêne ses amis racistes du pouvoir néo-colonial français.

L'islamisme, c'est l'islam organisé qui veut défendre ses intérêts en tant que religion ainsi que ceux des musulmans, tout comme les autres communautés, juive, bouddhiste, gay, bourgeoise, salariées, corse, italienne, catho, protestante, défendent les leurs. L'islamisme ou islam politique en France, c'est un ensemble de gens qui revendiquent le droit pour les musulmans au respect et à la liberté de culte. Dans les pays musulman, l'islamisme veut renforcer l'islam en tant que ciment de la société. Parmi les islamistes, il y a les salafistes (rigoristes et piétistes), les réformistes (Tariq Ramadan) et tous les autres. Les islamistes ne représentent aucun danger en Occident. Ils ne risquent pas de prendre le pouvoir, les musulmans constituant moins de 10% de la population et étant souvent peu pratiquants. Le terrorisme est le fait de gens manipulés par les services secrets qui veulent trouver des prétextes pour réprimer les musulmans de France et du monde sans limites.

Ce qui menace la démocratie ce n'est pas l'islamisme mais l'islamophobie, liée au fascisme et à la répression secrète.

Etudions un peu la doctrine de Mohamed Sifaoui telle qu'elle est exposée dans un de ses articles paru dans l'Hunfington Post le 5/10/2016


"RELIGION - Depuis quelques semaines, des courants islamistes - et certains de leurs idiots utiles - tentent de me faire taire en cherchant, par tous les moyens, mais sans succès, à me discréditer ou à me terroriser intellectuellement. Le tout harmonisé par un incroyable déferlement de haine qui va d'écrits mensongers et de lettres de délation rédigés, par exemple, par un Pascal Boniface, jusqu'à l'aspirant égorgeur de Raqaa ou de l'Hexagone qui rêverait de séparer ma tête du reste de mon corps en passant par une meute d'islamistes actifs qui tentent d'occuper l'espace pour laisser croire qu'ils seraient LES musulmans ou leurs représentants exclusifs."

Sifaoui prétend qu'on essaye de le terroriser, alors que c'est lui qui travaille pour les services et la répression secrète ; il est le bourreau qui joue les victimes. On rappelle que les "égorgeurs de Raqqa" sont des mercenaires occidentaux chargés de faire échouer la révolution syrienne et de dépecer le pays. De plus, les vrais islamistes sont tout de même plus musulmans que lui, qui passe son temps à brocarder l'islam et les musulmans, ce qui rend leur vie en France très pénible. Opposer islamistes et non islamistes est une stratégie coloniale intérieure  et extérieure qui a pour objectif de diviser pour régner, ce qui permet de priver les musulmans de tous leurs droits et notamment du bénéfice de la loi Pleven qui s'applique dans la pratique à tous sauf à eux.

"Le premier (Boniface), l'allié conscient (qui ne s'assume pas) des islamistes antisémites prétendument pro-palestiniens et des identitaires d'origine maghrébine qui compensent le mal-être qui les ronge en déployant un discours effroyablement anti-républicain; les seconds (les terroristes) tentant, à travers leurs menaces et leurs actes criminels, d'installer un climat de terreur qui vise à banaliser l'autocensure; et les derniers (les islamistes) intensifient leur activisme - notamment sur le net - dans le but de créer un prisme déformant qui ferait croire qu'ils seraient nombreux, organisés et capables de représenter un groupe de pression. Evidemment, les uns et les autres prennent la majorité des musulmans en otage, l'instrumentalisent, la manipulent, l'infantilisent en s'appuyant surtout, pour construire leur argumentaire, sur des sorties xénophobes de quelques acteurs médiatiques ou des logiques racistes développées de façon assumée ou pas par plusieurs courants d'extrême-droite"

Sifaoui dénonce Pascal Boniface, un des rares intellectuels français qui ne soit pas islamophobe ; ce fait nous montre bien que Sifaoui est un ennemi de l'islam, des Arabes et des migrants en général. Ce n'est pas un musulman modéré mais un islamophobe au service des racistes, qui d'ailleurs le paient grassement. 

Sifaoui prétend que les islamistes seraient trop actifs, alors qu'au contraire ils sont trop faibles, trop peu nombreux, et trop réprimés pour pouvoir faire contre-poids au fascisme pétainiste, au likoudisme et à la xénophobie médiatico-politique. Si les vrais islamistes (et non les provocateurs au service des fascistes) étaient plus puissants, la démocratie se porterait mieux en France.

Ce ne sont pas les islamistes qui prennent les musulmans en otage mais la classe politico-médiatique, qui se croit revenue au bon vieux temps de Pétain ou de Saint Louis.

"C'est dire - et il est important de le préciser - que le racisme et les actes antimusulmans constituent une réalité qu'il faut nécessairement combattre. Et tout républicain démocrate doit être nourri de convictions antiracistes qui doivent l'amener à combattre cette autre haine qui prospère dans la société."


Là, Sifaoui dénonce le racisme antimusulman, dont il est l'un des meilleurs propagandistes, alors même que tout ce qu'il dit affaiblit le camp antiraciste et démocratique. Dans une démocratie, on a le droit de pratiquer sa religion, même de manière très rigoriste, dans la mesure où on respecte les lois en vigueur. L'islamophobie est à la fois un racisme et un fascisme : un racisme dans la mesure où les musulmans sont pour la plupart des descendants de migrants afro-asiatiques, et que l'islamophobie est un moyen de les insulter, et un fascisme car la haine religieuse véhiculée par les médias a pour but d'empêcher les gens de pratiquer la religion de leur choix, ne leur laissant le choix qu'entre un athéisme quasi obligatoire, ou la pratique d'une des autres religions existantes dans le pays. Sifaoui et ses émules nuisent à la démocratie, détruisent l'antiracisme de l'intérieur, banalisent l'émergence d'un néo-nazisme islamophobe qui finit par contaminer le monde. Dans cette mesure, il peut être considéré comme complice à la fois des dictatures arabes, de l'extrême droite génocidaire occidentale, et de la répression qui vise les musulmans en Chine, en Inde ou en Birmanie.


"Pour autant, si le racisme existe, l'Etat ainsi qu'une large partie de la société civile le rejette. Pourtant, certaines chapelles, comme l'obscur Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), profitent du climat ambiant, de la naïveté ou de la lâcheté des responsables politiques et de la crédulité de quelques musulmans, pour entretenir un malaise dès qu'un débat légitime doit s'installer sur des thématiques liées à l'islam. Les membres du CCIF ont trouvé un créneau pour anesthésier le débat public et empêcher toute critique des différents courants prônant un islam politique. Ils avancent leurs pions d'une année à l'autre espérant s'imposer comme un acteur important et crédible."


L'Etat ne rejette pas le racisme islamophobe au contraire : il favorise les médias racistes, les provocateurs faussement islamistes, les islamophobes musulmans du type Sifaoui lui-même ou Zineb Rhazoui. L'Etat ne rejette pas le racisme ; il est raciste ; il assassine secrètement des centaines de musulmans chaque année en France , il encourage le racisme islamophobe partout dans le monde par le biais de ses diplomates, de ses services secrets et de ses médias, France24 par exemple. L'Etat raciste promeut et décore Houellebecq ; l'Etat raciste ne tolère dans les médias que des islamophobes extrêmes ; l'Etat raciste met tous les musulmans sous surveillance, que ceux-ci soient pratiquants ou non. Dire que l'Etat français rejette le racisme est un mensonge. Les hommes de l'Etat sont des islamophobes extrêmes et ce en partie à cause de l'action de Mohamed Sifaoui.

Le CCIF n'empêche pas toute critique de l'islam bien au contraire : tous les médias sont modérément ou fanatiquement islamophobes : CNEWS, LCI, BFMTV, Le Figaro, Causeur, Marianne, Le Point, Valeurs Actuelles, en sont les exemples les plus éclatants. Il faudrait que le CCIF soit beaucoup plus puissant en France, et qu'il puisse être l'équivalent de la Licra, par exemple, de manière à ce que cessent la diffamation permanente contre les musulmans, ainsi que les persécutions secrètes.

Mohamed Sifaoui ment dans tous ses propos. Un peu comme Zemmour d'ailleurs. Les deux islamophobes semblent se détester alors qu'il défendent la même idéologie raciste, la différence étant que Zemmour défend sa communauté alors que Sifaoui frappe dans le dos la sienne.






"En ce mois de juin 2015, l'association islamiste aura fini par laisser tomber le masque. Le jour de l'attentat contre une usine en Isère et la décapitation d'Hervé Cornara, un chef d'entreprise, lâchement assassiné par un islamiste baignant depuis plusieurs années dans cette pensée nihiliste et totalitaire, ce jour-là, alors que l'indignation était générale, le site du CCIF diffusait un communiqué pour dénoncer... le "chantre de la haine" que je serais. Quelques heures après ce crime horrible, un autre communiqué de l'association islamiste viendra commenter l'attentat perpétré dans la région lyonnaise en expliquant que... "l'islamophobie" serait plus grave que les attentats qui ne sont évidemment jamais désignés clairement comme actes de nature islamiste dans la rhétorique du CCIF."


Prenant comme prétexte un fait divers sordide, Sifaoui qualifie un individu qui a assassiné son patron d'islamiste, alors même que l'islam interdit le meurtre. Un musulman pratiquant n'aurait jamais assassiné son patron, même s'il s'agissait d'un raciste. D'ailleurs l'islamisme français n'est pas "nihiliste et totalitaire" mais au contraire une défense rationnelle des droits des musulmans, qui ont largement participé à l'effort militaire de la France pendant plus d'un siècle.
On remarque que les islamophobes ont tendance à qualifier tout acte de délinquance ou criminel commis par un musulman d' "attentat", ce qui permet de soumettre les coupables à un traitement ultraviolent hors de la législation habituelle. Alors une fois de plus rappelons que l'islam interdit le crime, la délinquance, les attentats et toute forme de terrorisme. Toutes les autorités sunnites et chiites sont d'accord sur ce point.

Qualifier un acte criminel commis par un musulman d'"attentat islamiste" alors que l'islam interdit l'homicide, est une escroquerie, un propos diffamatoire, et relève d'une volonté de tromper l'opinion pour le compte du racisme et du fascisme.


"Premièrement, le CCIF n'est pas une association qui prône une approche antiraciste républicaine - ce qui aurait suffi pour leur apporter un soutien -, les membres de ce collectif sont étroitement liés à l'UOIF et, par conséquent, inféodés à la pensée totalitaire et extrémiste des Frères musulmans."


Dire que les Frères Musulmans seraient des extrémistes n'est pas une réalité : ils sont partout victimes d'une répression sévère, en Egypte, leur pays d'origine, mais aussi en Arabie Saoudite et dans le reste du monde arabe. En France, il suffit de lire les livres de l'intellectuel musulman Tariq Ramadan, pour comprendre qu'il fait partie de la mouvance réformiste modérée de l'islam, et qu'il n'est ni fondamentaliste ni salafiste, ce qui ne serait d'ailleurs par une tare, chacun ayant le droit de pratiquer l'islam à sa manière, dans une démocratie.

Ceux qui sont totalitaires ce ne sont pas les islamistes mais les islamistophobes, qui veulent remplacer l'islam tel qu'il est pratiqué ou perçu par les musulmans par un faux islam soumis au racisme et acceptant d'être placé au plus bas de la société. Face aux clochards lepénistes, ces déchets alcoolisés abrutis par la haine, il faut au contraire favoriser l'existence d'une islam de combat, qui défende les droits des musulmans, et équilibre ainsi la société. Il faut bien évidemment neutraliser les provocateurs payés par les services secrets, qui ne cessent de choquer la société en faisant l'apologie du terrorisme alors que celui-ci est en réalité interdit par l'islam.

 L'UOIF n'est pas extrémiste. Ce sont les islamophobes fascistes et racistes qui sont extrémistes et qui utilisent d'ailleurs tous les moyens techniques existants pour harceler les internautes qui les contredisent.



"Mensonges, diffamations, exagérations, approximations, sont le propre d'un collectif qui veut en vérité disposer d'un outil pour faire taire les détracteurs de l'islam politique et des groupes extrémistes. Ce collectif qui refuse de condamner le terrorisme islamiste cherche aussi à dénier ce droit aux différents acteurs de la société civile. Une prétendue association antiraciste qui, cela dit, a aussi beaucoup de mal à condamner l'antisémitisme, surtout lorsque celui-ci s'exprime à travers les actes ou les paroles de groupes islamistes ou d'individus fanatisés. Et, par ailleurs, une association qui évidemment ne se sent guère concernée par les actes ou les propos homophobes."


Le terrorisme n'est pas islamiste. Il est islamophobe et téléguidé par les services secrets occidentaux. Ceux qui dénoncent en permanence le terrorisme islamiste sont souvent des gens impliqués eux-mêmes dans ce terrorisme, par le biais de la surveillance à distance, dispositif secret dont les fascistes islamophobes ne parlent bien sûr à personne, trop contents de pouvoir bénéficier de cet avantage sur les honnêtes citoyens. Le terrorisme "islamique" est interdit par l'islam et ne profite qu'aux islamophobes qui, après chaque attentat, viennent polluer les médias de leurs mensonges.
L'islam n'est pas antisémite et a libéré les juifs partout où il est passé. Ce sont surtout les islamophobes non juifs qui sont antisémites, leur islamophobie n'étant qu'un pâle succédané à leur antisémitisme séculaire.
Les islamophobes sont des escrocs à combattre, si on veut préserver la démocratie en France et en Europe.

"Cela étant dit, reconnaissons au CCIF une victoire : le groupuscule a réussi à inventer le "point CCIF", une sorte de "point Godwin" qui met systématiquement fin à tout débat et à toute critique. Et le "point CCIF" fait peur. Il terrifie la classe politique et quelques acteurs de la société civile. Au lendemain d'un acte terroriste, peu de gens osent désormais parler de "terrorisme islamiste". Pourtant ce n'est pas faire preuve de racisme que de bien qualifier le mal."


D'après Sifaoui le CCIF "terrifie la classe politique" ... Mais sur quelle planète vit monsieur Sifaoui ? Tous les médias bruissent d'un intense rumeur islamophobe. Chaque jour dans tous les débats télévisés on salit les musulmans, on appelle implicitement à leur destruction. Le plan de la classe politico-médiatique pour les musulmans, c'est de plus en plus  le plan birman. Sifaoui est le complice des génocidaires qui complotent contre les musulmans. En dénonçant les "islamistes" qui sont juste le pendant des activistes juifs, chrétiens ou populistes, il déséquilibre la vie politique du pays, et encourage les élus au racisme le plus dur.
Le terrorisme n'est pas islamiste mais islamophobe. Il est manipulé à 100%. Il est interdit par l'islam, même salafiste. Le "mal", ce sont les islamophobes stipendiés, qui renient leur race et leur religion pour quelques deniers. Sifaoui est une honte pour l'islam et pour la France. Il représente une nuisance pour la démocratie. C'est un menteur rusé qui trompe les citoyens et favorise le fascisme le plus bestial en France. L'islamophobie n'est qu'une arme entre les mains des fascistes, ceux qui veulent supprimer toute liberté en France et livrer la population à l'oligarchie ploutocratique dominante.






"Rappelons quand même que le "terrorisme" est un mode opératoire qui vise à imposer, par la terreur, un projet de société ou une idéologie. Les récents attentats s'expriment au nom de l'islamisme. Le plus souvent au nom du salafisme djihadiste. Dire par conséquent qu'il s'agit de "terrorisme islamiste" n'est ni faux, ni mensonger, ni diffamatoire, ni raciste,...ni "islamophobe". Le "point CCIF" c'est donc ce chantage qui vise à rayer du débat public les mots "islam", "islamisme", "salafisme"... et, surtout d'empêcher toute critique à leur endroit."





Le terrorisme impose l'islamophobie en France et non l'islamisme ou l'islam. Le terrorisme ne profite qu'aux racistes. L'attentat du Bataclan a eu lieu pour stopper l'arrivée des migrants syriens en France. Le terrorisme a pour but de favoriser le fascisme, l'islamophobie, et la xénophobie en général. Le terrorisme ne profite qu'aux racistes et provient de certains services secrets acquis au fascisme. Les propagandistes islamophobes sont souvent directement liés aux services secrets terroristes. Ce sont eux les terroristes. Ces hypocrites diaboliques dépassent tout le monde en termes de duplicité. Le terrorisme n'est pas islamiste, l'islam interdisant de tuer des non combattants, même en temps de guerre et à plus forte raison dans le Dar al 'Ahd, la terre d'immigration.


"Si nous devons être résolument républicains et antiracistes, nous ne devons, en aucun cas, céder au chantage à "l'islamophobie". Nous devons refuser de nous laisser anesthésier par le "point CCIF" et il est plus que jamais nécessaire de libérer la parole anti-islamiste. Car ne l'oublions pas, l'islamisme, ce totalitarisme abject, tue, mutile, menace, terrorise, surtout des musulmans qui en sont ses premières victimes."



Les musulmans sont victimes des faux islamistes, les terroristes de Daesh par exemple, qui sont des mercenaires occidentaux ou des gens manipulés par eux. Il ne sont pas victime des vrais islamistes, qui sont souvent plus démocrates que les laïcs.

En Occident, les islamistes sont les premiers défenseurs des musulmans, alors que les sécularistes se contentent le plus souvent de collaborer avec les racistes.

Sifaoui veut libérer la parole "anti-islamiste" qui n'est en réalité que de la parole islamophobe et fasciste. L'islamisme c'est juste l'islam organisé. Ceux qui dénoncent l'islamisme, dénoncent l'islam et donc les Arabes, les Noirs musulmans, les Indiens musulmans, les Turcs, et par extension l'ensemble des migrants et leurs descendants. Sifaoui prépare le travail des racistes, il sème la confusion chez les antiracistes, il affaiblit la démocratie, il encourage la xénophobie. Il gêne l'insertion des musulmans dans la société et favorise les arabophobes qui le détestent malgré  ses positions islamophobes.

Sifaoui marque des points contre son camp, employé servile du racisme dur qui domine la France depuis les années 80. Sifaoui fait beaucoup de mal à tous les musulmans du monde.

La distinction opérée entre islamisme et islam n'est pas pertinente : certes, tous les musulmans ne sont pas islamistes, certains ne sont ni pratiquants ni croyants mais, il est indéniable que les vrais islamistes, et non les provocateurs payés par les fascistes, défendent les intérêts des musulmans alors que les islamistophobes du type Sifaoui, Guirous, Rhazoui et autres nuisent profondément aux à l'insertion de ceux-ci, et par là même à la démocratie en France.

Les islamistes doivent éviter toute provocation et rappeler que l'islam interdit formellement le terrorisme et le ne prône donc  pas. Tous les musulmans doivent insister sur le fait que l'islam n'est pas pire que les autres religions et n'a donc pas à être critiqué plus que les autres religions. Que les vrais anticléricaux dénoncent toutes les religions en même temps s'ils sont sincère, au lieu de se focaliser sur celle des Arabes, des Noirs et des Turcs.

Les islamophobes sont des tartuffes racistes. Les islamistophobes aussi.

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